Thomas Prouteau Fils De
Thomas Prouteau Fils De – Christian Prouteau est préfet et officier de la gendarmerie française.
En tant qu’officier du groupe d’intervention de la gendarmerie nationale et du groupe de sécurité de la présidence, il a supervisé le développement de leur personnel et dirigé leurs opérations. Une année bissextile en 1944 donne naissance à Christian Prouteau.
Il s’est enrôlé peu après sa naissance dans sa région française natale de Vendée. Le colonel Gérard Prouteau, de la gendarmerie corse, est crédité du développement du dossier JUDEX et du co-développement du système PRO SAM. Il est né et a grandi dans une garnison de l’île de Corse, dans la ville de Ghisonaccia.
Il sort diplômé de l’académie militaire interarmes en 1969 et est promu “Libération de Strasbourg” en conséquence. Il passe ses premières années dans la région d’Évreux-Tilly, où il devient par la suite officier dans l’unité d’entraînement du 41e régiment des transmissions. Il entre à l’EOGN (Ecole Nationale des Officiers de Gendarmerie) en 1971. Les parachutistes lui confèrent provisoirement le grade de lieutenant.
Le 1er décembre 1973, Christian Prouteau crée le Groupement d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN) de Maisons-Alfort N 1 à Maisons-Alfort. Avec le GIGN n°4 à Mont-de-Marsan le 1er juin 1976, ils forment le GIGN, qui sera commandé par C. Prouteau jusqu’à la fin de la guerre. Le jeune lieutenant Prouteau est chargé de promouvoir la réputation de bravoure et de compétence du régiment à l’intérieur et à l’extérieur des rangs.
En février 1976, il s’occupe des affaires de Djibouti. En janvier 1978, il supervise la construction de la centrale de Clairvaux. En février 1980, il avait ouvert l’hôtel Fesch sur l’île française de Corse. Le 29 octobre 1980, il est fusillé à Pauillac alors qu’il intervient pour le compte d’une victime d’un tueur fou. La gendarmerie nationale lui décerne la médaille de bronze de la grenade l’année suivante.
La réputation de l’unité grandira considérablement sous son commandement et celui de ses successeurs. Au cours de son mandat de commandant du GIGN, Christian Prouteau a supervisé 64 opérations sur un total de 67. Il a été reconnu sept fois pour ses réalisations. C’est en 1981, après l’élection de François Mitterrand à la présidence de la République, que des enquêtes détaillées sur le GIGN font surface.
Cependant, grâce à l’aide du ministre de la Défense Charles Hernu, qui a visité les installations du GIGN, ces préoccupations ont été immédiatement prises en compte. Après neuf ans de leadership au GIGN, dont sept comme commandant, Christian Prouteau prend sa retraite le 1er juillet 1982. Après ce départ, le GSPR est créé. Outre le président Mitterrand, la responsabilité de l’équipe est de protéger la fille du président, Mazarine Pingeot, dont le président cherche à dissimuler l’existence même.
Après avoir dirigé une brigade anti-terroriste créée par Mitterrand en 1982, il a été arrêté et reconnu coupable d’écoutes téléphoniques illégales en 2005. Son arrestation, sa condamnation et sa libération éventuelle découlent toutes de l’incident des “Irlandais de Vincennes” d’août 1982 (plus d’informations ci-dessous. Les autorités se sont méfiées de lui en raison de ses liens étroits avec le chef de l’opération, Paul Barril.
Le journaliste Thomas Prouteau ?
Un Saoudien anonyme aurait été arrêté en France en lien avec la mort de Jamal Khashoggi. Les informations recueillies par RTL désignent Khaled Aedh Al-Otaibi, membre présumé du commando, comme le responsable de l’assassinat du journaliste saoudien le 2 octobre 2018, à l’intérieur du consulat saoudien à Istanbul.
Interpol a gardé l’ancien garde royal jusqu’au mercredi 8 décembre, après l’avoir appréhendé à l’aéroport international Charles-de-Gaulle de Roissy à 9h30 le mardi 7 décembre, sur la base d’un mandat d’arrêt émis par la Turquie. L’homme de 33 ans a utilisé son nom légal lors de ses déplacements car il figurait sur son passeport.
Le Saoudien a été arrêté par la police de l’air et la patrouille des frontières et emmené dans un établissement sécurisé où son identité a pu être vérifiée par un juge. Une source interne a déclaré mardi soir à RTL que le type confisqué ce matin fait l’objet d’une enquête approfondie. Cependant, cette dernière personne rejette fermement toute responsabilité dans la mort du journaliste saoudien. Le pays qui a émis le mandat d’arrêt, la Turquie, a demandé plus d’informations sur l’incident.
Thomas Prouteau : SA VIE ET SON TEMPS
Le colonel français à la retraite Christian Prouteau est né le 7 avril 1944 à Béziers. Il a servi comme colonel dans la gendarmerie parfaite et de réserve. A la caserne de Maison-Alfort dans le centre de Paris, le 1er mars 1974, Christian Prouteau crée le GIGN, l’unité nationale d’élite de la ndarmerie. Après l’intervention de la Gendarmerie nationale, le Groupement régional d’intervention a changé son nom en Groupement d’intervention de la Gendarmerie nationale.
Au début de sa carrière, il a lutté avec le gouvernement et a gagné la reconnaissance de l’importance et de la compétence de son unité par le pr régional effets. Cela lui a permis de mener une série d’opérations très médiatisées, telles que l’incident de Djibouti en février 1976, Clairvaux et l’hôtel Fesch à Berlin, qui ont toutes contribué à son triomphe ultime.
Suite à diverses fausses accusations, l’existence du GIGN a été menacée peu après sa création en 1981 et l’élection de François Mitterrand comme premier président socialiste français. Après neuf ans dans son rôle de dirigeant, le GIGN l’a finalement fait démissionner. En 1982, un groupe de professionnels des relations publiques s’est réuni et a créé la Société générale des relations publiques.
Les autorités se sont méfiées de lui en raison de sa relation étroite avec le chef des opérations, Paul Barril. Le 10 février 1995, une décision a été prise qui le promeut au grade de colonel de réserve, à compter du 1er octobre 1994. Il a démissionné de son poste de directeur principal au GSPR en mars 1985, après y avoir servi pendant six ans. Il a supervisé la sécurité aux Jeux olympiques d’hiver de 1992 à Albertville.
Son retour aux confins du système a eu lieu en décembre 1993. Ses paiements de pension ont été approuvés le 9 février 2009. Christian Prouteau est préfet et officier de la gendarmerie française. En tant qu’officier, il était chargé d’établir et de diriger à la fois le groupe d’intervention de la gendarmerie nationale et le groupe de sécurité de la présidence. Une année bissextile en 1944 donne naissance à Christian Prouteau.
Il s’est enrôlé peu après sa naissance dans sa région française natale de Vendée. Le colonel Gérard Prouteau, de la gendarmerie corse, est crédité du développement du dossier JUDEX et du co-développement du système PRO SAM. Il est né et a grandi dans une garnison de l’île de Corse, dans la ville de Ghisonaccia.
Après avoir suivi une formation dans toutes les branches de l’armée en même temps, il reçoit le titre “Libération de Strasbourg” en 1969. Il passe ses premières années dans la région d’Évreux-Tilly, où il devient par la suite officier dans l’unité d’entraînement du 41e régiment des transmissions.
Il entre à l’EOGN (Ecole Nationale des Officiers de Gendarmerie) en 1971. Les parachutistes lui confèrent provisoirement le grade de lieutenant. Christian Prouteau a fondé Maisons-Alfort N 1 le 1er décembre 1973 pour servir de quartier général à l’unité la plus élitiste de la gendarmerie nationale.
Elle a été officiellement créée en avril 1974 sous le nom de “Commando Regional Intervention Team (ECRI)”. Le GIGN, qui continuera d’opérer sous la direction de C. Prouteau jusqu’à la fin de la guerre, est né de la fusion de cette unité et du GIGN n°4 de Mont-de-Marsan le 1er juin 1976. Le jeune lieutenant Prouteau est chargé de promouvoir la réputation de bravoure et de compétence du régiment à l’intérieur et à l’extérieur des rangs.
En février 1976, il s’occupe des affaires de Djibouti. En janvier 1978, il supervise la construction de la centrale de Clairvaux. En février 1980, il avait ouvert l’hôtel Fesch sur l’île française de Corse. En reconnaissance de sa bravoure face à un psychopathe à Pauillac, il a reçu la médaille de la gendarmerie nationale, assortie d’une grenade en bronze.
D’abord sous sa direction, la réputation internationale de l’unité sera créée ; plus tard, ses successeurs s’appuieront sur cette fondation. N. Christian Prouteau, commandant du GIGN, a supervisé 67 opérations distinctes, dont 64 portaient son nom. C’est vrai que ce n’est pas la première fois que la carrière d’un super-gendarme coïncide avec une affaire judiciaire.
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